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Vous êtes si choqué et triste de cet évènement que vous ne pouvez rien faire à part pleurer devant le cadavre de votre fille. Compréhensible. Une minute plus tard, un passant se décide enfin de vous tendre la main. Au bord de l'hyperventilation, vous lui racontez ce qui s'est passé. Il est choqué, mais moins que vous et vous suggère avec lucidité d'aller aux urgences pour espérer sauver votre fille, ce que vous faîtes sans tarder. Arrivé aux urgences, le diagnostique est frappant et clair : votre fille est irrémédiablement morte. Vous pleurez davantage, mais en même temps ce serait injuste d'en rester là. C'est impossible de rester les bras croisés, ce serait déshonorer l'amour que vous portez à votre fille.

Que faîtes vous ?

A. Vous appelez la police pour traquer l'assassin. B. Vous traquez l'assassin avant d'appeler la police, pour le livrer au comissariat en personne après une petite vengeance personnelle.